L’hôpital public de la ville est un vieux bâtiment, sujet à de nombreuses coupures de courant, rendant les opérations difficiles. Il possède bien un générateur mais ce dernier commence à se faire vieux. Il n’est pas rare d’y retrouver des blessés graves, souvent victimes de la lutte entre HYDRA et la résistance. De nombreuses opérations se font clandestinement sur des résistants ou des fugitifs, à l’abri du regard des autorités. Ces personnes sortent généralement dès leur réveil, pour éviter que des soupçons pèsent sur le personnel médical.

Tout véhicule n’est pas infaillible et il arrive bien qu’un jour, votre petit bolide tombe en panne. Ce garage est le seul de la ville et l’on croise bien souvent des agents d’HYDRA, venus faire des contrôles pour vérifier qu’un fugitif ne travaille dans cet endroit, si facilement accessible. Le patron, bien qu’un peu louche, est d’une honnêteté sans borne, même quand il s’agit de vendre un fugitif ou un membre de la résistance. Ce n’est pas du goût de tous ses employés mais ils ne peuvent rien dire sous peine de perdre leur emploi.

Même en temps de guerre, il faut savoir s’amuser. Il n’est pas rare de retrouver de tous au sein de “NOM DE LA BOITE” sauf peut-être des agents d’HYDRA. Ici, la musique hurle dans les différentes pièces accessibles et les serveurs ont bien du mal à attendre les commandes des clients. A l’étage se trouvent les chambres des prostituées, bien insonorisées pour éviter que les clients ne soient dérangés par la musique. C’est également un refuge pour nombres de fugitifs, la patronne acceptant sans problème de les recevoir pour les cacher dans la cave, au milieux du garde manger. (rp sexuels sous hide, merci)

Anacostia a payé un lourd tribu lors de la crise de 2009. Bons nombres d’entreprises ont été obligées de mettre la clé sous la porte, laissant de nombreux entrepôts vides, des cargaisons qui prennent la poussière. Ces endroits servent souvent des lieux de fêtes pour les jeunes mais également de lieux de rendez-vous pour les agents de la résistance. HYDRA a bien du mal à tout contrôler car la zone d’activité d’Anacostia fait pas loin d’un hectare. Un endroit parfait pour se cacher. Et cela d’autant plus alors que des rumeurs courent sur des tunnels secrets qui conduiraient jusqu’au QG de la résistance.

Tout le monde n’a pas la chance d’avoir un toit au dessus de sa tête, notamment les fugitifs, obligés de changer fréquemment d’endroit pour éviter de se faire repérer et arrêter par HYDRA. Du coup, le squat d’Anacostia est un lieu adéquat pour qu’ils puissent se cacher parmi d’autres SDF. Mais attention, certains d’entre eux n’hésitent pas à trahir les leurs en prévenant la faction d’HYDRA présente contre une récompense. On vous dit de vous méfiez de tout le monde, c’est encore plus vrai ici.

C’était une magnifique église gothique mais les affrontements entre la résistance et HYDRA ont partiellement détruits l’édifice. Le toit s'est effondré et la cloche trône fièrement au milieu de la nef, reposant sur ce qui fut l’autel. Il n’est pas rare d’ailleurs d’y entendre des coups de feux, signe d’un nouveau combat entre les deux forces ennemis. Les fidèles se font très rares, ne voulant pas être victime d’une balle perdue mais parfois, on retrouve des croyants assis sur les bancs, espérant retrouver un jour la paix. Des bougies sont allumées pour rendre hommage à ceux qui ont perdus la vie.

Le terrain vague d’Anacostia est un lieu de danger permanent. Les animaux sauvages y sont nombreux, tout comme les détritus. Mais malgré tout, il n’est pas rare d’y retrouver des enfants s’amusant au foot sous le regard inquiet de leurs parents car plus loin, les dealers guettent leurs clients.Si on regarde en direction du ciel, on peut voir des drones à basse altitude, soit ces petites machines volantes qui permettent de surveiller tout le monde.

Un endroit d’apparence insalubre. Personne de sensée ne serait tentée d’entrer dans ce bar à l’aspect miteux. Mais pourtant certains osent franchir le seuil de la porte et entrer à l’intérieur. Un bar qui longe une partie du mur. Des tables un peu partout dans la pièce. Ce genre de bar dans lequel les agents d’HYDRA ou la police ne sont pas les bienvenues. C’est ce genre de bar où les marchés sont conclus, où les mallettes remplies d’argent sont échangées. Mais c’est aussi là que l’on vient pour entendre les rumeurs ou pour disparaître. On dit que de nombreux fugitifs viennent trouver refuge ici l’espace d’un soir. Une idée qui peut paraître saugrenue alors que la méfiance règne, que les regards se tournent dès qu’un étranger passe le seuil de la porte. Une bagarre pourrait être si facilement déclenchée alors que chaque homme est armé, pourtant les conflits se font discrets alors que mieux vaut ne pas attirer l’attention d’HYDRA.

Les personnes ayant la chance de pouvoir avoir un logement sont assez mal logées dans ce quartier. Les immeubles, s’ils ne sont pas tout simplement fermés, sont largement décrépis et nécessiteraient un bon ravalement et de gros travaux. Les ascenseurs sont souvent en pannes et le courant fait des siennes. On retrouve également quelques maisons abandonnées, souvent habités par des personnes n’ayant pas les moyens d’avoir leur propre logement. Certaines portes des maisons abandonnées ont toutefois été forcées alors que certains fugitifs espèrent y trouver un abri sans craindre l'ombre des agents d'HYDRA.