Du sable fin. Une eau turquoise. Un coucher de soleil. On pourrait presque peindre encore et encore ce paysage qui est tout simplement splendide. Un paysage que peu contemple alors que cette plage qui s’étend sur de nombreux kilomètres n’est que l’une des frontières entourant l’île d’Ogygia. Aucune possibilité de fuir par la mer, alors que la seule possibilité de s’échapper de cette prison est par les airs. Or même Icare en est venu à se brûler les ailes. Un risque que n’est pas prêt à prendre les résidents de l’île.

Une grande demeure. Une pelouse tondue au centimètre près. Des grands espaces pour jouer au cricket ou au golfe. Cette grande demeure respire le luxe et la modernité, pourtant elle n’est pas tant une villa côtière qu’une prison pour ses résidants. Car, personne ne peut s’échapper d’Ogycia. Et Mme HYDRA compte bien s’assurer que cette cage dorée reste fermée.

Des arbres qui s’étendent tout autour. Une forêt dense qui entoure la demeure principale de l’île d’Ogygia. Un sentier presque invisible qui conduit jusqu’à la plage qui borde l’île. Les gazouillements des oiseaux qui perchés sur les branches d’arbres semblent juste aspirer à ce que l’on les immortalise en photo. La forêt qui occupe une grande partie de l’île paraît être centenaire, composée d’arbres plus vieux les uns que les autres. Il n’est pas rare d’y croiser un renard ou une bîche mais attention, les animaux sauvages peuvent être dangereux. Une petite rivière coule tranquillement dans la forêt, apportant un peu de fraîcheur à qui viendrait s’y promener.